Envoutante Damas
On prend le bus le matin pour Damas. Ici aussi les prix sont plus chers que prévu. J'apprends peu après qu'il y a deux semaines, le prix du pétrole a augmente de 300 % en Syrie, du jour au lendemain. Ça joue naturellement sur toute l'économie du pays.
On choisit un hôtel charmant (qui se trouve être le moins cher aussi, forcement), dans une vieille maison avec une grande cour intérieure. Un endroit qui incite a traîner dans les fauteuils, a fumer le narguilé ou boire un thé, avec le son de la fontaine en fond sonore et un toit de lierre qui protège du soleil et diffuse une lumière relaxante. Le staff est pas top sympathique mais je passe l'éponge, vu le prix et le décor. On s'installe sur le toit, ou des matelas sont installes en rang d'oignons.
Helene et Benoit sont déjà passe par Damas a leur arrivée, et ils ont le sens de l'orientation. Je les laisse donc me guider dans la vieille ville, passant par le souk et ses allées couvertes, la Mosquée Omayyade, se perdant avec bonheur dans les labyrinthiques ruelles aux lumières et aux odeurs contrastées.
On tombe sur une succursale du Centre Culturel Français, ce qui me permet de voir une expo photos et vidéos d'une qualité rarement vue (faut dire que je fréquente pas trop ce genre de lieu).
On passe la soirée a fumer la sheesha dans un magnifique café-resto, le Jabri, superbement décoré, la aussi dans une cour intérieure. La clientèle est essentiellement locale, musique arabe, atmosphère envoûtante, bonne ambiance.
Damas est une ville sublime, ou il est facile et agréable de se promener. Les gens sont aimables et relax. Je me sens bien. Je me ballade, appareil autour du cou, en compagnie d'Helene et Benoit, et j'arrive a prendre des photos des passants sans me sentir trop gêne, ce qui est une première amélioration.
En fin de journée, je me paie un hammam, sans massage. Un petit plaisir que je me suis déjà offert en Turquie. J'adore traîner dans le sauna, y rester cuire comme une pomme-vapeur. Surtout que la chaleur me rend euphorique, complètement perché. Je sors de la propre et détendu comme jamais, prêt a accompagner les Lillois pour leur dernière soirée en Syrie.
On se fait un bon resto dans une de ces vieilles maisons de la vieille ville. Le dîner se finit au son du Oud et du tambourin. Deux musiciens sont venus chanter pour détendre les fumeurs de narguilé. Leur avion est a 4h du matin, alors on tue le temps en discutant, fumant, affale dans la cour de l'hôtel, jusqu'à ce que le taxi vienne les prendre, déjà plus ou moins zombifiés.
On choisit un hôtel charmant (qui se trouve être le moins cher aussi, forcement), dans une vieille maison avec une grande cour intérieure. Un endroit qui incite a traîner dans les fauteuils, a fumer le narguilé ou boire un thé, avec le son de la fontaine en fond sonore et un toit de lierre qui protège du soleil et diffuse une lumière relaxante. Le staff est pas top sympathique mais je passe l'éponge, vu le prix et le décor. On s'installe sur le toit, ou des matelas sont installes en rang d'oignons.
Helene et Benoit sont déjà passe par Damas a leur arrivée, et ils ont le sens de l'orientation. Je les laisse donc me guider dans la vieille ville, passant par le souk et ses allées couvertes, la Mosquée Omayyade, se perdant avec bonheur dans les labyrinthiques ruelles aux lumières et aux odeurs contrastées.
On tombe sur une succursale du Centre Culturel Français, ce qui me permet de voir une expo photos et vidéos d'une qualité rarement vue (faut dire que je fréquente pas trop ce genre de lieu).
On passe la soirée a fumer la sheesha dans un magnifique café-resto, le Jabri, superbement décoré, la aussi dans une cour intérieure. La clientèle est essentiellement locale, musique arabe, atmosphère envoûtante, bonne ambiance.
Damas est une ville sublime, ou il est facile et agréable de se promener. Les gens sont aimables et relax. Je me sens bien. Je me ballade, appareil autour du cou, en compagnie d'Helene et Benoit, et j'arrive a prendre des photos des passants sans me sentir trop gêne, ce qui est une première amélioration.
En fin de journée, je me paie un hammam, sans massage. Un petit plaisir que je me suis déjà offert en Turquie. J'adore traîner dans le sauna, y rester cuire comme une pomme-vapeur. Surtout que la chaleur me rend euphorique, complètement perché. Je sors de la propre et détendu comme jamais, prêt a accompagner les Lillois pour leur dernière soirée en Syrie.
On se fait un bon resto dans une de ces vieilles maisons de la vieille ville. Le dîner se finit au son du Oud et du tambourin. Deux musiciens sont venus chanter pour détendre les fumeurs de narguilé. Leur avion est a 4h du matin, alors on tue le temps en discutant, fumant, affale dans la cour de l'hôtel, jusqu'à ce que le taxi vienne les prendre, déjà plus ou moins zombifiés.